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PréférencesTout accepterTout refuserAurélia Gantier est parisienne. Elle se décrit comme une militante pour les droits de l’homme, de la littérature et de la flânerie. Lorsqu’elle ne flâne pas, Aurélia écrit des histoires, comme Les Volponi, genèse tunisienne, son deuxième roman. Le premier, Je suis un ogre, a été publié aux Editions de Cambourg en 2006 et plusieurs de ses textes publiés en France et en Belgique en 2015 : « Déracinée » chez Dissonances et « L’homme aquatique » chez Ravage. Aurélia est également l’auteur du blog de création littéraire Les causeries d’Aurélia, en ligne depuis 2016. Son slogan ? « Et si on se racontait des histoires ? »
Les histoires, Aurélia adore ça. On lui en raconte depuis toute petite. Des histoires de l’après-guerre en Tunisie, notamment. Comme les Volponi, les membres de sa famille maternelle sont siciliens de Tunis et la plupart d’entre eux ont immigré en France à l’indépendance. Chaque membre de cette famille est une histoire à lui seul, et, s’il s’agit d’une fiction, la plupart des personnages et des anecdotes du roman sont empreints à la réalité.
En exergue du livre, il est écrit : « Á ma mère, à ma grand-mère, à ces origines diffuses, lointaines, inachevées. Parfum de vérité, fantasme de jeune fille. » Mentionner cette lignée de femmes n’est pas anodin : en 2010, Aurélia a co-fondé Women’s WordWide Web. Pendant près de sept ans, elle s’est engagée pour l’émancipation des femmes et des jeunes filles. Peut-être parce que dans sa famille aux rôles très codifiés, la position des femmes y était en souffrance.
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